Musée des horreurs
Problèmes trouvés ces derniers temps sur des bateaux
Nos marques
Bien vérifier son bateau
Sans commentaires..
1. Vérifiez les niveaux d’huile et d’eau du moteur.
2. Vérifiez les niveaux de carburant et de liquide de refroidissement.
3. Vérifiez les câbles et les connexions électriques.
4. Vérifiez les boulons et les écrous pour s’assurer qu’ils sont bien serrés.
5. Vérifiez les lignes d’arbres et les raccords pour s’assurer qu’ils sont en bon état.
6. Vérifiez les hélices et le système de barre pour s’assurer qu’ils sont en bon état.
7. Vérifiez les vannes et leurs colliers de serrage pour s’assurer qu’ils sont en bon état.
8. Vérifiez les batteries pour s’assurer qu’elles sont chargées et en bon état.
9. Vérifiez les lumières et les signaux pour s’assurer qu’ils fonctionnent correctement.
10. Vérifiez les systèmes de sécurité pour s’assurer qu’ils sont en bon état et fonctionnent correctement.
11.Véfier son gréement 2 x par saison
etc.
Sur demande Be Boat s’en occupe
Le must du must en réparation…
Il ne m’est pas possible de ne pas en parler
Il est tout simplement ahurissant de constater l’incompétence abyssale de prétendus professionnels du nautisme dans cette affaire. La réparation effectuée était d’une telle médiocrité que le bateau s’est mis à jouer les sous-marins, nécessitant une intervention d’urgence pour l’empêcher de devenir un récif artificiel. Heureusement, le nouvel acquéreur, ayant discernement, a fait appel à notre expertise, sauvant ainsi le bateau d’une fin prématurée au fond de l’océan.
La situation est tout bonnement désastreuse : le safran bâbord menace de larguer les amarres avec la coque. Tout cela à cause d’un choc antérieur ayant délainé le tube jaumière de la gouverne autoportée, laissé ainsi pendouillant. Malgré deux tentatives de réparation aussi efficaces qu’un seau percé, le safran reste une épée de Damoclès, non seulement pour le bateau, mais surtout pour quiconque oserait y embarquer.
Il est donc impératif d’insister sur la nécessité absolue de scruter avec une loupe la qualité des réparations effectuées sur votre bateau, et de vérifier que chaque boulon est serré comme il se doit. De plus, il est vital de s’assurer que ceux qui s’attaquent à ces réparations ont plus de compétence qu’un perroquet sur un radeau.
Nous devrions probablement dérouler le tapis rouge pour remercier les entreprises de Capbreton et d’Anglet, car selon les sommités dans le domaine (bureau d’expertise Ingemer), cette histoire aurait pu se terminer par deux ans de bateau cloué sur la zone technique du port, empêtré dans les affres des expertises et des assurances.
Le coût de la réparation avancée par Be Boat, soit environ 1300 € TTC, ressemble à une offrande divine comparé aux déluges financiers et aux migraines engendrées par une procédure judiciaire, où le propriétaire finit toujours par ressembler à un marin naufragé, dépouillé de son bien et de son bon sens pendant toute cette période de multiples contres expertises sans fin.
Be Boat est heureux de montrer le propriétaire de ce bateau serein et c’est bien visible sur cette photo ici à droite
Notre mission est de fournir à nos clients des services de qualité et des produits de qualité pour leur permettre de profiter pleinement de leur expérience de navigation.
Encore et toujours, les surprises ne manquent pas……
Lors d’une opération de modernisation de l’électronique sur un 31.7 Bénéteau, la VHF ne répond pas, me voilà donc à déblatérer au téléphone avec le client qui, dans son élan de franchise, m’assure que le problème préexistait à ma venue.
Je me lance alors dans une chasse à la panne digne d’un détective, pour finalement découvrir avec stupeur que les deux connecteurs mâles ne sont pas soudés ils sont plus nus qu’un nudiste en pleine tempête, avec en prime l’un d’eux en court-circuit. La tresse touche le câble central.
Cette installation catastrophique a été concoctée lors de la remise en mât du bateau, suite au remplacement du dormant, par un individu se proclamant expert sur Capbreton. À mon humble avis, ce dernier ferait mieux de se reconvertir dans la vente de casquettes de capitaine pour touristes, avec ou sans galons.
Un travail bâclé par un amateur qui ne semble pas s’embarrasser du souci de sécurité, oubliant que la VHF n’est pas un simple gadget, mais un équipement vital en cas de pépin en mer, ou tout simplement pour obtenir le bulletin météo.
On ne sait plus s’il faut rire ou pleurer devant tant d’incompétence, mais une chose est sûre : la sécurité et la confiance en ce prétendu professionnel ont pris le large depuis bien longtemps.